Actions Total: perspectives 2023?

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Mis à jour d’août 2023

Les nombreux Français propriétaires des actions Total (aujourd’hui TotalEnergies SE) ont été longtemps en souffrance.

Les actions Total ont accusé en 2020 la plus forte baisse du CAC 40 dans le sillage du reflux du pétrole.

Après cette désastreuse année 2020, la situation s’est complètement retournée.

En 2022, TotalEnergies a réalisé un bénéfice net ajusté de 20,5 milliards de dollars (+28 % par rapport à 2021), qui sera distribué à plus de 35 % de ses actionnaires.

TotalEnergies a ainsi bénéficié des prix historiquement élevés du pétrole (le baril de Brent a en moyenne dépassé les 90 dollars en 2022), dans un contexte de tensions liées à la guerre en Ukraine.

Alors, qu’en penser et que faire?

Mes recommandations pour les actions TOTAL

Le pétrolier français Total est le cinquième producteur au niveau mondial et couvre tant les activités d’exploration et de production que de raffinage et de distribution.

Il est aussi actif dans le gaz.

Même décriées, les hydrocarbures constituent toujours près de 60% du mix énergétique mondial.

C’est d’autant plus le cas que d’autres sources d’énergie, comme le charbon ou le nucléaire en Allemagne, ont été aussi poussées vers la sortie.

Or, la transition énergétique prendra des décennies et, d’ici là, on ne peut se passer des hydrocarbures.

Mais pour en produire, il faut de l’investissement, lequel est de plus en plus difficile à obtenir pour les entreprises du secteur, du fait de la montée en puissance des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de bonne Gouvernance).

Investisseurs, fonds, banques et assureurs s’écartent du pétrole et du gaz, jugés trop polluants.

Tout a débuté avec les restrictions imposées au financement de pétrole issu de sables bitumineux ou de forages en Arctique.

Mais aujourd’hui, certains acteurs majeurs, comme des banques scandinaves ou le fonds souverain norvégien, excluent de leurs investissements l’ensemble du secteur des hydrocarbures.

Pour toutes ces raisons, l’investissement dans le pétrole et le gaz est en berne.

Et sans investissement, difficile d’augmenter, voire maintenir, les capacités de production.

Des cours qui flambent

L’offre s’est donc fragilisée et, en même temps, la demande en énergie augmente, au fur et à mesure que l’économie post pandémie retrouve un semblant de normalité.

La guerre en Ukraine n’a cependant rien arrangé, bien au contraire.

Le résultat de cette demande en hausse face à une offre qui stagne est une flambée des prix des hydrocarbures.

L’Agence Internationale de l’Energie a indiqué que la demande d’or noir avait atteint un record à 103 millions de barils par jour l’été 2023!

Les raisons de cette demande insolente?

La Chine, le retour en force des voyages en avion et l’utilisation croissante de l’or noir pour la production d’énergie.

Et cela alors que l’économie mondiale doit encore redémarrer…

Mais si la demande ne cesse de progresser, l’offre, elle, ne suit pas.

Dans l’immédiat, la décision de l’Arabie Saoudite et de la Russie de réduire leur production pour soutenir les cours porte ses fruits.

Mais ce n’est pas tout.

En Russie, les sanctions occidentales pèsent sur les capacités de production, tandis qu’aux Etats-Unis, la cherté du crédit pèse sur les investissements dans le gaz et le pétrole de schiste.

De manière plus générale, le manque d’investissements dans ce secteur mal aimé des investisseurs et des décideurs politiques risque aussi de le rendre incapable de répondre aux pics de demande qui accompagneront inévitablement le rebond de l’économie mondiale.

Une nouvelle flambée des prix est donc inévitable tôt ou tard.

Tout porte donc à croire que les prix de l’énergie vont rester élevés, sans parler des investissements nécessaires à la transition énergétique, des nouvelles normes pour atteindre nos objectifs climatiques et des restrictions imposées aux produits importés qui ne les respecteraient pas.

Autant de facteurs qui se traduiront par une hausse des coûts pour les entreprises, hausse qu’elles ne manqueront pas de répercuter sur le consommateur.

à Pas simple dans ces conditions pour la Banque centrale européenne de ramener l’inflation à 2%.

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Le rebond après l’effondrement

La chute du prix du pétrole en 2020 a certes eu pour effet positif de faire baisser le prix du carburant à la pompe, mais sur le plan boursier c’était l’hécatombe pour les actions du secteur.

En fait, la chute du pétrole n’a fait qu’ajouter… de l’huile sur le feu: les marchés boursiers s’en seraient volontiers passés, après leur baisse sur les trois premiers mois de l’année.

Avant de s’effondrer suite à l’éclatement de la crise du coronavirus, le prix du baril de pétrole Brent dépassait les 50 USD.

Depuis le niveau plancher de 16,50 USD atteint le 21 avril 2020, les prix ont rebondi pour revenir à des niveaux beaucoup plus élevés.

Le prix du baril de pétrole poursuit son rebond

Début décembre 2021, lorsque l’annonce du variant Omicron laissait craindre un retour aux confinements et d’autres restrictions fortes, le prix du baril de Brent avait baissé jusqu’aux environs de 69 USD.

Mais il a rapidement rebondi depuis, approchant à nouveau les 80 USD fin 2021.

Les investisseurs on fait le pari que, malgré des chiffres d’infections à des niveaux record, Omicron s’avèrerait moins dangereux, comme semblaient bien l’indiquer déjà à l’époque les chiffres en provenance d’Afrique du Sud, de la Grande Bretagne et du Danemark.

Mais, plus fondamentalement, l’année 2021 a mis à nu les problèmes liés à une transition énergétique qui se veut rapide mais ne dispose pas des moyens de ses ambitions.

À ce stade, le renouvelable n’est pas en mesure de remplacer d’un seul coup charbon, nucléaire et hydrocarbures.

En même temps, les limites des investissements dans les hydrocarbures pèsent sur les capacités de production, de sorte que les producteurs peinent à suivre la demande, redevenue forte.

Cela explique la hausse du prix de baril en 2021 (+50%) et l’inflation qu’elle induit, laquelle pèse sur le pouvoir d’achat des ménages et met à mal la reprise.

La situation actuelle n’étant pas temporaire, le prix du pétrole semble destiné à rester élevé à l’avenir.

L’évolution du prix du pétrole fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps, avec les sanctions contre la Russie (qui affecte l’offre sur les marchés consommateurs) et la crise économique (qui réduit la demande).

Pour l’avenir du prix du pétrole, au vu de l’incertitude qui plane sur l’équilibre offre/demande, les prévisions des analystes vont dans tous les sens.

Une reprise toujours incertaine

Mais même si l’offre et la demande devaient aller dans le bon sens, le marché pétrolier encore fragile.

Début avril 2020 de nombreux pays producteurs de pétrole ont décidé de réduire une partie de leur production afin de soutenir le prix du pétrole.

Les États-Unis avaient également beaucoup à gagner de cet arrangement.

Mais depuis lors, le variant Delta a progressé, suivi de l’Omicron.

Et puis la guerre s’est déclenchée en Ukraine.

Dès 2022, on a vu le retour en force de la production de certains pays producteurs, et notamment des États-Unis.

Frappés de plein fouet par la chute des cours du baril à des niveaux négatifs au printemps 2020, les producteurs américains avaient vendu à prix cassé leur production de 2020 et 2021 sur les marchés des produits dérivés, afin d’assurer leur survie.

Peu à peu débarrassés de ces contrats, ils pourront à nouveau vendre au prix du marché, et seront ainsi incités à produire davantage.

Mes conseils pour le secteur pétrolier restent inchangés

Je ne modifie donc pas les conseils que j’ai déjà donné dans ma lettre d’information et dans mes formations.

Conservez les actions des géants du secteur, tels BP, Chevron, Exxon Mobil, Iberdrola, Repsol, Royal Dutch Shell.

Évitez par contre les petits acteurs pétroliers, plus fragiles.

TotalEnergies n’est en effet pas le seul géant de l’énergie à annoncer de gros gains.

Pensez au britannique BP, à l’anglo-néerlandais Shell, aux américains Chevron et ExxonMobil.

Action Total perspectives

En ce qui concerne plus spécifiquement les perspectives pour les actions Total, continuez votre lecture.

Le groupe a aussi précisé ses ambitions dans l’énergie renouvelable, qui doivent faire de lui un groupe multi-énergie, délaissant la stratégie axée jusqu’ici sur la hausse constante de la production de pétrole.

D’ici 2030, il veut augmenter de 50% ses investissements dans le renouvelable et baisser de 30% ses ventes de produits pétroliers. Il compte aussi doubler ses ventes de gaz naturel liquéfié.

Dans les projections futures pour 2030, les combustibles fossiles représentent cependant encore 80% des produits vendus. Ceci est compensé par 15% d’électricité et 5% d’hydrogène et de biomasse.

Pour 2025, il vise une capacité de 35 GW dans le renouvelable (contre 25 visés jusqu’ici), puis une hausse de 10 GW pour 2030.

En 2030, il disposera ainsi de 85 GW de capacités dans le renouvelable contre 50 pour BP (aussi très dynamique).

De récents investissements dans l’énergie solaire en Espagne viennent ainsi d’être annoncés.

Total devra cependant prouver que cette réorientation peut se faire sans affecter la rentabilité.

TotalEnergies prend des mesures prudentes dans ce domaine, mais va un peu plus loin dans ses promesses climatiques que les géants pétroliers américains comme ExxonMobil et Chevron.

Pourtant, TotalEnergies a encore du pain sur la planche.

Les perspectives à moyen terme de TotalEnergies sont incertaines.

En effet, le prix du baril de pétrole peut être affecté par la guerre en Ukraine, dont la durée et l’évolution sont imprévisibles, la politique de l’Opep+ et ses alliés, les pressions sur la croissance économique mondiale et la reprise de l’économie chinoise suite à la fin de la politique zéro-Covid.

Ces facteurs peuvent avoir des répercussions positives ou négatives sur la demande, ce qui rend difficile de prédire l’avenir de TotalEnergies.

Le contrôle des coûts se poursuit pour conserver un seuil de rentabilité bas.

Le groupe profite du niveau élevé des prix du pétrole, du gaz naturel et du gaz naturel liquéfié (GNL).

Le groupe tire à cet effet profit de sa stratégie d’investissement dans le gaz.

À partir de 2026, TotalEnergies participera au Qatar au développement d’un important projet de production de gaz naturel liquéfié (GNL) pour une production totale de 32 millions de tonnes par an.

Récemment sorti du GNL russe, TotalEnergies signe ainsi un accord qui le repositionne sur ce marché en croissance (compte tenu de la transition énergétique, de l’embargo sur le pétrole russe).

L’accord n’aura cependant pas de retombée immédiate sur le résultat.

Par ailleurs, TotalEnergies va prendre 25% d’une coentreprise en Inde, dédiée à la production d’hydrogène vert.

En parallèle, conformément à la nouvelle orientation stratégique, Total maintient ses investissements dans l’énergie renouvelable.

Mais cela reste l’un dans l’autre assez modeste.

On peut se demander pourquoi une entreprise comme TotalEnergies investit si peu dans les énergies renouvelables.

La réponse est claire: les rendements sont encore bien trop faibles.

On le voit aussi chez Shell et d’autres entreprises américaines: ils veulent maximiser leurs profits.

Et si vous deviez demander aux actionnaires de choisir entre un dividende plus élevé pour leurs actions Total et plus d’énergie renouvelable, le choix serait tout aussi clair.

Regardez les prédictions de l’Agence Internationale de l’Énergie: elles indiquent que la demande de pétrole va augmenter dans les trente ou quarante prochaines années.

Les entreprises comme TotalEnergies savent donc que leurs profits ne baisseront pas tant qu’elles continueront à faire ce qu’elles font.

Action Total: perspectives et recommandations

La crise économique et la chute du prix du pétrole en 2020 ont poussé Total à prendre des mesures immédiates.

Avec succès.

Le cours actuel des actions Total s’est redressé petit à petit:

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Total accentue ses investissements dans l’électricité verte et le gaz naturel pour faire évoluer son modèle.

Si 50% de ses investissements restent dans le pétrole, ils devront montrer des coûts de production très bas et présenter des émissions de CO2 sous la moyenne des projets en cours.

Le groupe affiche un bilan solide (qui lui permet de financer les investissements) et une bonne gestion.

Le dividende (2,81 EUR brut) des actions Total n’est pas en danger et reste solide au fil des années.

Les prix du baril de pétrole Brent sont tombés sous les 80 dollars à la fin de 2022, ce qui constitue un nouveau plongeon des prix de l’or noir après les hausses de 2021.

Cette chute inattendue vient contredire l’entrée en vigueur de l’embargo européen et du plafonnement des prix du pétrole russe à 60 dollars par les pays du G7, de l’Union européenne et l’Australie.

Le secteur du pétrole brut se retrouve face à une incertaine visibilité et le marché pétrolier est actuellement loin d’être stable.

Pendant ce temps, les prix du gaz en Europe et en Asie étaient plus élevés que jamais, alimentés par une demande croissante, et cela a envoyé les prix de l’énergie en Europe à des niveaux record.

L’entreprise a su pleinement profiter de ces conditions très favorables, notamment dans les secteurs du GNL et de l’électricité.

Beau bulletin à fin 2022

TotalEnergies, géant français du secteur pétrolier, présente donc un très beau bulletin à la fin de l’année 2022, grâce à la hausse des prix des hydrocarbures et au redressement de la rentabilité du raffinage (transformation du pétrole en carburant…).

Le groupe a en outre encore renforcé la solidité de son bilan, en réduisant sa dette nette à 13 milliards d’euros, contre 17 milliards fin 2021 et 25 milliards au 1er semestre 2021.

Il affiche ainsi un des bilans les plus solides du secteur.

Un atout qui n’est pas négligeable pour financer sa croissance, alors que les taux d’intérêt (conditions de financement) vont augmenter.

Des investissements…

Le cash généré et la baisse de l’endettement permettent à TotalEnergies de relever le montant total à consacrer aux investissements sur l’ensemble de 2022.

Celui-ci est à présent de 16 milliards d’euros (contre 15 milliards auparavant).

25% de ce montant seront consacrés à l’énergie renouvelable. Je table ensuite sur un montant identique pour 2023 et 2024.

Dans le renouvelable, TotalEnergies poursuit son évolution entamée il y a quelques années.

Il a acquis en mai 2022 50% du producteur américain d’énergies renouvelables Clearway. Il a également investi en Inde dans l’hydrogène vert, un projet de plus long terme.

Dans le gaz naturel liquéfié (GNL, secteur dans lequel TotalEnergies est le 2e plus grand acteur privé au monde, derrière Shell), il a signé un contrat en juin 2022, en vertu duquel il prend une participation de 6,3% dans un très grand projet en développement au Qatar. Un accord qui tombe à pic, alors que sa croissance en Russie est à l’arrêt et que l’Europe cherchera encore à diversifier ses sources d’approvisionnement ces prochaines années. Ce projet sera opérationnel en 2026 et pourra fournir à TotalEnergies environ 2 millions de tonnes de GNL par an (en plus des 17 millions de tonnes qu’il produit déjà actuellement).

… et encore des investissements

Désendetté, TotalEnergies a également la capacité de financer des acquisitions.

Le plus intéressant serait une opération dans l’énergie renouvelable, pour y accélérer son développement.

Cela permettrait aussi de mettre en sourdine les demandes de taxation sur les superprofits, de plus en plus pressantes en France.

Dans l’immédiat, le PDG de TotalEnergies préfère sécuriser son dividende et racheter ses actions propres.

Prix du pétrole

Compte tenu d’un scénario de récession économique en Europe et, au mieux, d’un éventuel ralentissement de l’économie américaine en 2023, je mise pour le baril de Brent sur un prix moyen de 80 USD à 100 USD en 2023.

Le problème russe

La présence encore récente de TotalEnergies en Russie pour l’exploitation du GNL (alors que ses concurrents ont quitté le pays) a inquiété les investisseurs.

Pour faire taire les critiques, TotalEnergies vient de céder des actifs russes.

Une bonne nouvelle qui peut rendre un peu de souffle à l’action à très court terme.

Mes recommandations action total

En avril 2022, les pays de l’OPEP+ ont annoncé une réduction de leur production de 1,1 million de barils par jour.

Cette décision a permis au cours du Brent de remonter à 85 USD après avoir atteint un creux de 72 USD mi-mars 2022.

Le cartel estime que la demande occidentale diminuera en raison du ralentissement économique et de la crise bancaire.

Le redémarrage de la Chine n’a pas suffi à relancer rapidement le prix du pétrole.

Le Brent pourrait atteindre ou dépasser les 90 USD cette année, mais sans revenir aux 100 USD de 2022.

Chez TotalEnergies, le bénéfice opérationnel avant amortissements pour 2023 devrait baisser de 9% par rapport à 2022.

Cependant, le dividende n’est pas en danger avec une prévision de 2,96 EUR brut pour 2023 et 3 EUR brut pour 2024.

TotalEnergies s’adapte également aux objectifs européens de réduction des émissions de carbone et à la fin annoncée des ventes de véhicules thermiques en 2035.

La société a vendu ses stations-service en Allemagne et aux Pays-Bas à un groupe canadien et s’est associée avec ce groupe pour ses stations en Belgique et au Luxembourg.

L’intervention de l’OPEP+ pour soutenir le prix du pétrole profite aux entreprises du secteur, notamment TotalEnergies dont l’action a gagné près de 6% lors de l’annonce de la baisse de production.

Sur la base d’un bénéfice par action attendu de 10 EUR en 2023, le cours vaut actuellement 5 fois ce bénéfice, ce qui est dans la moyenne européenne du secteur.

Bien que le cours de l’action TotalEnergies ait presque triplé depuis son plus bas niveau en 2020, il reste abordable avec une valeur d’entreprise (dette comprise) représentant seulement 70% du chiffre d’affaires et un rendement des dividendes supérieur à 5%.

L’action TotalEnergies ne se paie actuellement que 5 fois les profits attendus pour 2023.

Cette faible valorisation peut s’expliquer en partie par le risque de taxation des superprofits préconisée par la Commission Européenne.

Cependant, la principale raison de cette faible valorisation est que le marché anticipe une baisse des prix des hydrocarbures et donc une baisse des profits des entreprises pétrolières.

Néanmoins, cette baisse pourrait être moins importante que prévue en raison de la volonté de certains pays producteurs de soutenir les prix.

Comme je l’ai déjà souligné à chaque mise à jour de cet article en fonction de la situation, je ne vois donc en résumé aucune raison de paniquer pour les actions Total.

CONSERVEZ

Restez cependant prudents.

Mes recommandations action Total: vous pouvez conserver vos actions Total.

Cela étant, si vous êtes majoritairement, et pire encore, totalement investi en actions Total ( aujourd’huiTotalEnergies SE), vous faites fausse route et vous devez changer de stratégie.

Vous n’avez dans ce cas pas un comportement responsable vis à vis de votre patrimoine, de votre avenir et de celui de vos proches.

Vous avez à vous construire un portefeuille bien plus équilibré et diversifié qu’une monoculture en actions Total.

Vous avez à réserver une place de choix aux portefeuilles que je conseille dans mes formations.

Et pour parer aux incertitudes à court terme, je vous explique  également même comment constituer des portefeuilles avec des valeurs refuges qui ont très bien résisté, même au plus fort de la crise.

Diversification et long terme sont les maîtres-mots du succès en Bourse.

Au delà de vos actions Total, je vous explique complètement comment bien investir dans ma nouvelle formation qui vous permettra de constituer votre portefeuille boursier de façon équilibrée et performante.

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