taux directeurs de la bce

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Mise à jour de septembre 2025

📌 À RETENIR AVANT DE LIRE TOUT LE RESTE

📉 Les taux directeurs baissent.

📈 Les marchés s’agitent.

💸 Et vous, vous devez ajuster votre stratégie.

Voici ce que vous devez comprendre :

– 🧠 Les taux directeurs ne sont pas des chiffres abstraits. Ce sont des leviers puissants.

– 🏦 Quand la BCE ou la FED bouge, votre épargne, vos crédits et vos investissements réagissent.

– 🔍 En 2025, la BCE est passée de 4,5 % à 2,0 %. La FED reste prudente autour de 3,4 %.

– 📊 Les placements à court terme deviennent plus liquides. Les obligations longues redeviennent stratégiques.

– ⚠️ Et les actions européennes ? Toujours aussi molles.

Ce texte n’est pas une analyse académique. C’est une feuille de route. Et elle vous montre comment naviguer dans un monde où les taux ne sont plus neutres.

C’est quoi, les taux directeurs?

Les taux directeurs sont des taux d’intérêt déterminés par les banques centrales pour contrôler l’offre d’argent et les conditions du marché des capitaux.

Ils sont généralement utilisés pour relancer ou freiner l’économie en ajustant le coût du crédit et en influençant la demande et l’offre de monnaie.

Les taux directeurs peuvent également influer sur la valeur des monnaies, car ils sont utilisés par les investisseurs pour déterminer leurs décisions d’investissement à court terme.

Le précurseur japonais des taux directeurs nuls

Confrontées à des récessions à répétition et à un marasme financier persistant, les autorités nippones ont fixé pour la première fois les taux directeurs à zéro en 1999.

Hormis une brève remontée en 2007-2008, les taux sont restés proches de zéro pendant plus de deux décennies. Fin 2023, le taux directeur était encore à -0,10 %, reflet d’une politique monétaire ultra-accommodante.

Cependant, en 2024, la Banque du Japon a entamé un tournant historique en amorçant une normalisation progressive de sa politique. Après une première hausse en janvier, le taux directeur a été porté à 0,50 % et maintenu à ce niveau tout au long de 2025.

Ce revirement s’explique par une inflation plus persistante que prévu et une croissance salariale soutenue, notamment dans les petites et moyennes entreprises. Malgré un contexte mondial incertain, la BoJ semble désormais prête à poursuivre les hausses si l’économie japonaise confirme sa reprise.

Le Japon reste toutefois confronté à des défis structurels majeurs : le vieillissement démographique continue de peser sur la consommation et la dette publique demeure colossale. Dans ce contexte, la politique de taux bas, bien qu’assouplie, reste un outil crucial pour préserver la stabilité économique.

Les taux directeurs de la BCE jusqu’en 2022

Confrontées, dans une certaine mesure, aux mêmes problèmes de vieillissement de la population, de faiblesse de l’activité économique et d’envol des dettes, les autorités monétaires européennes ont suivi à l’époque leurs homologues japonais.

Entre 2016 et 2022, le taux directeur de la BCE était nul, voire légèrement négatif.

Et si la Banque Centrale Européenne (BCE) n’avait officiellement aucun objectif au niveau des taux directeurs à long terme, ses nombreuses interventions ont fait chuter les rendements obligataires à des minimums historiques, proches de zéro et même négatifs pour les dettes les mieux notées.

Le facteur essentiel des taux directeurs

Le facteur essentiel qui a justifié et a permis les politiques monétaires des taux directeurs zéro était la faiblesse de l’inflation.

Ces dernières décennies, le premier et parfois unique objectif des banques centrales était de contenir le dérapage des prix.

Une inflation à 2% était considéré comme l’objectif à atteindre.

Mais ce niveau n’avait plus été durablement atteint au Japon depuis 25 ans, et rarement en zone euro depuis la crise de 2008.

Même aux États-Unis, la hausse annuelle des prix atteignait de moins en moins souvent les 2%.

D’abord conjoncturelle, liée aux périodes de ralentissement économique, la faiblesse de l’inflation était devenue structurelle.

Au niveau de l’offre, l’ouverture des frontières a permis aux entreprises de réduire les coûts de production grâce à la main-d’œuvre bon marché des pays émergents.

Au niveau du commerce, la concurrence s’est intensifiée avec le boom des ventes en ligne.

Et parallèlement, le vieillissement de la population a réduit la demande.

Le constat était le même partout: le dérapage des prix n’était plus un problème.

Mais l’absence d’inflation avait créé d’autres problèmes pour nos économies.

Car l’inflation a le mérite de soulager les emprunteurs en érodant la valeur réelle des dettes, elle génère automatiquement des recettes fiscales supplémentaires (notamment via la TVA) et elle incite le consommateur à dépenser avant la hausse des prix.

À l’inverse, dans un monde sans pressions inflationnistes, ce dernier a tendance à postposer ses achats, dans l’espoir d’un tarif plus avantageux.

C’est pour contrer ces phénomènes et éviter de tomber dans le scénario de la déflation (= baisse généralisée des prix) que les banques centrales avaient adopté la politique des taux directeurs zéro.

Le marché des changes a perdu sa boussole

L’uniformisation des politiques monétaires des taux directeurs et l’absence de pressions inflationnistes ont ainsi déboussolé le marché des changes.

Autrefois, une inflation systématiquement plus élevée érodait, à long terme, la valeur d’une devise.

Mais l’inflation au Japon, dans la zone euro et aux États-Unis était faible, et pratiquement similaire.

Son impact sur le taux de change a donc été limité.

Avec des politiques monétaires qui étaient partout accommodantes, les investisseurs avaient perdu un important repère (l’évolution des taux directeurs dictait jusqu’à présent l’évolution des taux de change à court terme).

Le yen, l’euro et le dollar américain ont risqué dès lors de fluctuer au gré de leurs humeurs.

Mais vu la synchronisation des politiques monétaires et la convergence des taux d’inflation, un décrochage brutal et durable d’une de ces trois solides devises était fort improbable.

Un rebond boursier trop rapide…

Les politiques monétaires des taux directeurs nuls, et surtout l’espoir de leur perspective durable, expliquent également le rebond des Bourses après la crise du corona du 1er trimestre 2020.

En inondant les marchés d’argent bon marché, les banques centrales ont rassuré les investisseurs.

Avec un accès facile au crédit, la survie des entreprises est davantage assurée.

Pouvant financer sans peine la dette publique, les gouvernements ont, de leur côté, pu multiplier les mesures budgétaires pour amortir la crise.

Et pour les investisseurs, vu les rendements obligataires devenus très faibles, il n’y avait pas d’autre alternative à la Bourse.

Ce phénomène TINA (There Is No Alternative) a favorisé le rebond boursier, accentué ensuite par le syndrome FOMO (Fear Of Missing Out), la peur de rater une opportunité.

Il est indéniable que ce rebond comporte une part de spéculation, en particulier aux USA du côté des valeurs technologiques.

De gros acteurs ont parié sur la hausse des marchés en utilisant tous les outils disponibles.

Les particuliers ont aussi succombé aux sirènes de la Bourse.

Encouragés par les courtiers en ligne qui ont supprimé la commission sur les opérations en Bourse, des millions d’Américains se sont mis à spéculer.

En 2021, ils généraient  20% des transactions à la Bourse de New-York, contre 10% en 2019 et 2% en 2009.

… mais cohérent à long terme!

Au-delà de l’aspect spéculatif qui a accentué le rebond et causé épisodiquement de brusques corrections, le niveau atteint par les Bourses n’était pas injustifié dans une optique de long terme.

La crise économique fut historique en 2020, avec une énorme chute du PIB.

Mais, grâce à la remarquable campagne de vaccination qui a éloigné le danger du virus, la croissance annuelle de l’activité économique était à nouveau positive.

Grâce à la politique des taux directeurs zéro, les gouvernements ont pu lancer des plans de relance.

Globalement, la pandémie n’a par conséquent pas modifié les perspectives économiques des pays qui abritent les principaux marchés boursiers.

Le retour d’une forte inflation début 2022 a tout changé.

La hausse des taux directeurs de la BCE

Le taux des emprunts de l’État sur 10 ans (taux à long terme) est passé de 0 à 3,048% fin 2022. Une première depuis dix ans.

La responsable de cette hausse, très rapide, c’est l’inflation qui, en 2022, a frôlé les 6% en France.

Grâce aux mesures d’accompagnement que le gouvernement français à prises à l’époque, cela était encore peu comparé avec le reste de l’Europe où on parle plutôt de 8 à 10%.

Pour contrer cette inflation qui menaçait la bonne marche de nos économies, les taux directeurs de la BCE (Banque Centrale Européenne) ont été relevés.

L’exercice était délicat: la BCE veut montrer qu’elle s’occupe de l’inflation (elle veut diminuer la pression sur les prix en ralentissant l’économie) tout en évitant qu’une hausse des taux directeurs trop brutale entraîne une récession économique.

Les taux des comptes d’épargne

En principe, une hausse des taux d’intérêt incitée par la hausse des taux directeurs devrait être une bonne chose pour les épargnants, un groupe de personnes dans lequel la grande majorité des Français peuvent se compter.

Il est cependant bon de se rendre compte que si l’intérêt sur l’épargne augmente, l’intérêt réel sur l’épargne est toujours profondément négatif.

Car le taux d’intérêt réel tient également compte de l’inflation.

Si vous recevez des intérêts à 3%, gardez à l’esprit que l’argent a alors perdu 6% de sa valeur au cours de l’année écoulée.

Un taux d’intérêt réel négatif de 3% donc.

Vous ne gagnez donc pas 3%, vous perdez 3%.

Apparement, la plupart des gens ne comprennent pas cela.

En 2023, le taux du Livret A est passé à 3%.

C’est toujours aussi ridicule quand on voit le taux d’inflation réel!

Le LEP est passé à 6,1% à ce moment. Si vous êtes éligible, il couvre plus ou moins l’inflation, en effet, ce qui en fait une épargne neutre pour le fonds d’urgence, ou pour épargner pour un projet à court terme.

Cela n’en fait toujours pas un investissement, car en réalité vous ne gagnez rien.

Le rendement de ces comptes dépend en grande partie d’une éventuelle hausse ou baisse des taux directeurs.

Depuis 2025, on est reparti à la baisse.

Le rendement de l’assurance-vie en Euros est reparti à la hausse

En baisse constante depuis les années 2000, le rendement de l’assurance-vie en Euros s’est stabilisé fin 2022, pour les meilleurs contrats, un peu au-dessus de 1,50%, mais plutôt 1% en moyenne.

Les assureurs investissent votre épargne dans des obligations (à long terme) dont le coupon détermine ce qu’ils peuvent vous servir.

Ces dernières années, ils ont été contraints d’investir dans des obligations à faible rendement.

Certes, les taux ont monté mais le remplacement de ces obligations par d’autres plus généreuses ne se fera que progressivement.

Et encore parle-t-on d’obligations qui, aujourd’hui, offrent 1 à 2% environ.

On reste donc très, très loin des taux qu’on a connus par le passé.

Tout cela rend cependant le rendement de ce placement aussi peu intéressant que celui d’un livret d’épargne: les rendements ainsi obtenus ne sont donc absolument pas attractifs.

Le lien entre hausse des taux directeurs et la baisse des actions

Lorsque les taux obligataires étaient proches de zéro, les actions étaient la seule possibilité d’obtenir du rendement.

Les investisseurs en ont acheté en masse, faisant grimper les cours.

Avec la hausse des taux directeurs, une partie de ces investisseurs a préféré à nouveau la sécurité des obligations et avoir 2 à 3% à coup sûr plutôt qu’un rendement potentiellement plus élevé mais incertain.

Chaque euro investi dans des obligations ne va pas dans des actions.

Résultat, le marché boursier a trinqué.

Il y a aussi d’autres explications techniques: des taux plus élevés influencent négativement les cours des actions.

Ou économiques: s’il y a récession, les bénéfices des entreprises chuteront, ce qui par anticipation fait baisser les cours des actions.

Les taux directeurs et les emprunts hypothécaires

Sur un prêt avec un taux d’intérêt fixe et une durée de 20 ans, vous avez payé 1,91 % en 2021.

Mi-2025, les taux restent encore relativement stables. Il est ainsi possible d’emprunter en moyenne à un taux de 3,26% sur 20 ans, selon le courtier Meilleurtaux.

Le meilleur conseil pour les futurs emprunteurs est de profiter des conditions actuelles pour constituer un dossier solide avec de l’apport, de l’épargne et des revenus stables. L’avenir étant incertain, il est indispensable de prendre l’opportunité dès qu’elle se présente à vous.

Si vous pouvez recourir à l’emprunt (qui, même plus cher, est toujours historiquement bas), vous avez sûrement la possibilité de profiter de bonnes affaires, et devenir propriétaire de votre logement, ou commencer l’investissement immobilier de façon classique.

La fin de la hausse de l’inflation

L’inflation en zone euro a poursuivi son ralentissement depuis fin 2023, atteignant l’objectif de 2 % à moyen terme à l’été 2025. Ce repli progressif des tensions sur les prix, accompagné d’un fléchissement de la hausse des salaires, a permis à la Banque centrale européenne (BCE) d’amorcer un cycle de baisse de ses taux directeurs dès le premier trimestre 2025.

Après avoir maintenu son taux de dépôt à 4,5 % depuis juin 2023, la BCE a procédé à plusieurs réductions successives : le taux est passé à 2,5 % en mars 2025, puis à 2,0 % en juillet. Cette détente monétaire vise à soutenir la reprise économique dans un contexte mondial toujours incertain, marqué par des tensions commerciales et une croissance modérée.

La BCE adopte désormais une approche prudente, fondée sur les données économiques disponibles, et ajuste sa politique réunion après réunion, sans s’engager sur une trajectoire prédéfinie.

Les placements financiers et l’évolution des taux d’intérêt en 2025

Les placements financiers restent fortement influencés par les taux d’intérêt, qui déterminent à la fois le coût du crédit et la rémunération de l’épargne. En 2025, la dynamique des taux à court et long terme reflète les ajustements des politiques monétaires des grandes banques centrales, notamment la BCE et la Fed.

🔹 Taux à court terme : assouplissement prudent

  • La BCE a entamé un cycle de baisse de ses taux directeurs, ramenant son taux de dépôt à 2,00 % en juin 2025, contre 4,5 % un an plus tôt.
  • Cette détente monétaire vise à soutenir une croissance modérée (prévision de +0,9 % du PIB en 2025) et à accompagner le retour de l’inflation vers l’objectif de 2 %.
  • Les taux à court terme en zone euro ont donc baissé, se rapprochant du niveau « neutre » estimé autour de 2,5 % à 3 %, ce qui rend le crédit un peu plus accessible pour les ménages et les entreprises.

Cependant, un retour à des taux proches de zéro semble exclu, car :

  • L’inflation reste plus volatile qu’avant la pandémie.
  • La transition énergétique, les tensions géopolitiques et les défis du marché du travail continuent d’exercer une pression haussière sur les prix.
  • La BCE adopte une approche graduelle, ajustant ses décisions à chaque réunion sans trajectoire prédéfinie.

🔹 Taux à long terme : entre arbitrage et incertitude

  • Les taux à long terme sont influencés par les anticipations d’inflation, la politique budgétaire et les taux américains.
  • En 2025, la Fed adopte une posture plus prudente, avec un taux directeur attendu à 3,4 % fin 2025, ce qui limite la baisse des taux à long terme aux États-Unis.
  • Les investisseurs, qui espéraient une baisse plus rapide, révisent leurs anticipations, ce qui pourrait freiner la baisse des taux à long terme en Europe.

Autres facteurs limitant la détente des taux longs :

  • L’endettement public élevé dans certains pays de la zone euro (France, Belgique) rend les États plus dépendants des marchés pour se financer.
  • La fin des rachats d’actifs par la BCE, prévue en 2024, retire un soutien majeur au marché obligataire.
  • Les investisseurs exigent désormais une prime de risque plus élevée pour prêter aux États, ce qui maintient les taux longs à des niveaux relativement élevés.

🔹 Conséquences pour les placements

  • Les placements à court terme (livrets, comptes à vue, fonds monétaires) restent attractifs grâce à une rémunération plus élevée, favorisant la liquidité.
  • Les obligations d’État à 10 ans offrent des rendements modérés (entre 2,5 % et 3 %), mais leur potentiel de revalorisation est limité par les incertitudes sur les taux américains et la soutenabilité des dettes publiques.
  • Les actions et actifs risqués pourraient bénéficier d’un environnement de taux plus bas, mais restent exposés aux aléas géopolitiques et aux ajustements monétaires.

📊 Mes recommandations d’investissement pour 2025

Avec la baisse amorcée des taux directeurs en zone euro et aux États-Unis, les épargnants doivent ajuster leur stratégie en fonction de leur horizon de placement, de leur tolérance au risque et de leurs objectifs de rendement.

💼 Obligations : sécuriser le rendement dans un contexte de détente monétaire

  • Privilégier les obligations longues : En 2025, les taux à long terme sont en repli. Acheter des obligations à 10 ans permet de verrouiller un rendement stable (autour de 2,5 % en euro) sur la durée, ce qui protège contre une future baisse des taux.
  • Éviter les obligations courtes : Les obligations à 2 ans, bien que plus rémunératrices à l’achat (3,5 %), exposent à un risque de réinvestissement à des taux plus faibles.
  • Diversifier en devises étrangères : Les obligations en dollar américain restent attractives, avec des taux à 10 ans autour de 4,2 % fin 2024. Toutefois, le risque de change doit être géré, notamment via des couvertures ou une diversification multi-devises.

📌 À noter : la Fed reste prudente en 2025, ce qui pourrait limiter la baisse des taux américains et maintenir l’attrait des obligations en dollar.

📉 Actions européennes : prudence recommandée

  • Croissance molle en zone euro : En 2025, la croissance reste faible (prévision de +0,9 %), avec des perspectives ternes liées au vieillissement démographique, à la faible productivité et à l’instabilité politique.
  • Rendements limités : Malgré la baisse des taux de la BCE, les actions européennes peinent à se valoriser. Les risques structurels et conjoncturels restent élevés.

🔒 Recommandation : éviter les actions européennes dans un portefeuille orienté performance.

📈 Actions américaines : moteur de croissance

  • Croissance robuste : L’économie américaine affiche une croissance soutenue (+5,2 % au T3 2023), portée par la consommation, l’investissement privé et public, et un marché du travail dynamique.
  • Inflation maîtrisée : Avec une inflation autour de 2,4 %, les salaires réels progressent, soutenant la demande. Il y a cependant de sérieuses inquiétudes à ce sujet de par la politique des taxes d’importations.
  • Baisse des taux directeurs : La Fed a entamé un assouplissement graduel, ce qui renforce l’attractivité des actions.

📌 Recommandation : investir dans les actions américaines via un ETF répliquant le S&P 500, en diversifiant entre technologie, santé, consommation et énergie.

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1 Commentaire

  1. Merci Luc!

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